Nous sommes particulièrement fiers et, parfois inquiets, d’accueillir dans nos mûrs les élucubrations des Callipygiens.
Association, ou plutôt, nébuleuse d’inspiration goliarde et rabelaisienne, le Cercle callipygien ne se cache pas de vouloir présider à une révolution épicurienne et truculente.
Entre pataphysique et plaisanteries énormes ou subtiles; entre délicatesses et grivoiseries, ne doutons pas qu’ils sauront apporter leur sel dans les contenus présentés au Cellier.
(Introduction par CARPE LOCUM)

Retrouvez ci-après ‘Quelques Cris & Chuchotements’ du Cercle callipygien.
A vos risques et périls !!!!


FRAGMENTS MYTHOLOGIQUE – LES AMOURS DE CHRONOS & CALLIPYGE
La terrifique et véridique histoire des Amours du dieu Chronos et de la muse Callipyge, et du coït immémorial qui les unit, dont est issue la Cité du Locle; telle que l’évoque Dioscoride dans l’Anthologie Palatine
‘Hymnes de Chronos à Callipyge’
» j’ai tenu par dessus les crêtes, jambes écartées,
La Muse aux belles fesses, et dans la fraîcheur
De sa chair fleurie, je me suis senti mortel.
Me tenant serré entre ses jambes magnifiques,
Elle parcourut sans défaillance
La longue course de Cypris.
Elle me regardait avec des yeux langoureux,
Tandis que je je la secouais.
Ainsi jusqu’à ce notre blanche force fut épuisée,
Et que Callipyge finit étendue au sol,
Ses membres devenus pierre. »
C’est ainsi, dit-on, que Callipyge, domptée par le Temps, avec le temps engendra le Locle, bien qu’elle fût devenue pierre.
(Première mention écrite de notre muse ‘Callipyge’, 250 av. J.C. (Grec ancien traduit grâce à la généreuse contribution de Matteo Capponi, alors, Maître assistant, Université de Neuchâtel))

L’Appel
Laissez-vous aguicher par le galbe fessu, les rotondités tendues, la
lune dodue, la croupe fendue de notre Muse aux belles fesses.
Le petit fourmillement de plaisir et l’étincelle de lubricité qu’elle
inspire est source de rire et de vie.
L’enivrante Callipyge s’est donné à boire, se donne à voir et se donne à vivre..
Soyez forts, soyez beaux, soyez joyeux, car le but, comme dit
tonton Georges est de lui dérider les fesses!
Le Callipygisme est une verticalité: autant un ancrage, un
enracinement jurassien, un site loclois – quelle belle paire de
fesses que ce Cul-des-Roches !- qu’une universalité, un cri goliard,
une jubilation truculente, une insurrection épicurienne.
Bref: Il est le chant du monde

La Muse Callipyge
Edification de la mythologie goguenarde mais non moins fondée de notre Muse Callypige présidant à la survenance du Callipygisme.
Le Cercle callipygien
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